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Feb 24, 2008
Feb 8, 2008
vertigo in progress V
Je ne sais pas ce que tu deviens maintenant, ce que tu fais, ce que tu écris, mais cette lettre, peut-être une d’amour, me permettra de laisser une trace entre cet éternel recommencement dans mes pensées et dans la mémoire des choses vécues. Y a-t-il un moyen d’exprimer ce que je ressens sans avoir recours à l’écriture qui permet de sauvegarder les sensations et émotions, malgré l’effacement de leur existence originaire, en écrivant ? Je ne le sais pas, mais je n’ai pas le choix. Dans ma tête j’écrivais toujours des lettres à toi, mon cher amour, des lettres sans fin...
Feb 4, 2008
vertigo in progress IV

Traversée, figure de tout voyage : entre la transe, le transport,
et l’outrance qui passe la frontière. Mais si l’on traverse
(traveling, crossing, or going through the latin memory of ) ce mot,
on y retrouve, outre l’idée d’une limite franchie, celle d’un
détournement, la version oblique d’un détour. Tout y est dit en
un mot de mes transvérités. Mes petites vérités, s’il y en a, ne
sont ni « dans ma vie » ni « dans mes textes », mais à travers ce
qui les traverse, au cours d’une traversée qui en détourne, juste
au dernier moment, la référence cryptée, le salut en contreallée.
De l’un(e) — à l’autre. Référence de traversée, voilà le
bord depuis lequel s’écrivent les textes d’imminence dont je
vous parlais l’autre fois : en route vers l’ininscriptible qui va
venir — ou qui vient de venir à moi mais toujours sans horizon,
sans se faire annoncer. Sans du moins que je le sache, et non pas
« dans le texte », ni « dans la vie » mais entre et à travers. Le travail
de cette traversée, c’est ce que j’ai toujours appelé la trace au
fond : le voyage même.
Jan 9, 2008
bonne année 2008
Dec 18, 2007
annonce - first one

Samedi 19 janvier à 20 h
« 1, 2, 3, 45 TOURS » Chorégraphique de la culture pop- Cie Rabbit Research
La musique populaire des années 60 fait aussi danser les danseurs contemporains. Le disque tourne, la musique entre, Gainsbourg, les Beatles, Françoise Hardy, les Stones ou d’autres écrivent, évoquent les mots, les sourires, les regrets, les souvenirs et images qui font danser les filles. Alors elles dansent. Elles dansent et racontent leurs histoires, leurs pensées, leurs manières d’écouter la musique, et d’en jouer jusqu’à s’en faire tourner la tête. Tourner comme le disque qu’elles écoutent, comme le temps qui passe comme le ciel au dessus de leur tête, dans le bon sens…ou dans l’autre. 1…2…3…et bien d’autres 45 tours chroniqués, contés et dansés pour nous laisser divaguer dans le temps entre 1967 et 2007 ou entre le début et la fin…s’ils existent…
Dans le cadre de la résidence «
Plus d’un tour au Scarabée » de la compagnie- Plein tarif 8 €- réduit 5 €- Billetterie sur place dans la limite des places disponibles